Les athlètes soutenus par la BRED aux Jeux de Paris 2024

Coraline Vitalis commence l’escrime à l’âge de 7 ans au club du Chevalier de Saint-Georges au Gosier en Guadeloupe. À 13 ans, elle intègre le pôle Antilles-Guyane de Pointe-à-Pitre, puis à 17 ans, le pôle national senior de l’INSEP. Elle est licenciée au club du Levallois Sporting Club. Après son bac, elle suit une année de licence en psychologie à l’université Paris X Nanterre. Puis elle intègre le cursus de sportif de haut niveau à Sciences Po Paris, où elle étudie le management et les ressources humaines.

Classé parmi les meilleurs épéistes de France, Alex Fava intègre l’INSEP (Institut national du sport, de l’expertise et de la performance) en 2011.
Titulaire d’un BAC ES et d’une licence de droit, il réussit l’exploit de poursuivre des études classiques exigeantes parallèlement à son activité de sportif de haut niveau : il est diplômé de journalisme (Formation Sportcom en partenariat avec le CFJ) et de l’ESCP Europe (Master en management).
Il bénéficie depuis 2017 d’un CIP (convention d’insertion professionnelle sous forme d’un CDI avec aménagement d’horaires) avec la BRED en tant que responsable de communication interne et institutionnelle.

Camille Lecointre découvre la navigation à l’âge de 7 ans dans les bassins du Havre. Elle enchaîne les stages à l’année puis les premières compétitions en Optimist. Elle se prend alors à rêver des Jeux Olympiques en suivant à la télévision ses athlètes préférés. Elle participe à ses premiers Jeux en 2012 à Londres. Pour Camille Lecointre, “ Jérémie commence à avoir de la bouteille sur le 470, il a fait deux fois les JO, au niveau technique et expérience, je ne pouvais pas rêver mieux comme coéquipier ”.

Jérémie Mion fait la connaissance de la voile lors d’un stage sur le plan d’eau de Cergy-Pontoise (Val d’Oise). C’est en arrivant au Havre, sa ville d’accueil, et par le biais de son adhésion à la Société des Régates du Havre en 2012, qu’il accède à la compétition de haut niveau et acquiert des bases solides pour la suite de sa carrière. Pour Jérémie Mion : “ il n’y a pas meilleure barreuse que Camille en France. [...] C’est une lionne qui ne lâche jamais rien, même médaillée de bronze à Tokyo, elle était déçue et prête à repartir ! ”